Les Siècles des lumières
Ce période de l’histoire est le plus représentative de l’histoire de France
dû à les exprimes de pensés variés, on peut le considérer comme la révolution
des idées.
Pour ce mouvement lancé au XVIIIème siècle, les philosophes veulent « éclairer »
leurs concitoyens en luttant contre l’ignorance. Les lumières veulent asseoir
le règne de la raison, de la lumière qui accumule des connaissances.
Comme contexte historique on a les prochains faits :
· John Locke (1632-1704, importante philosophe se répand
progressivement en France.
· La mort de Louis XIV qui a vu l’apogée du pouvoir royal
et le retour à un ordre moral.
· La Régence la quelle permettra le développement de la
politique et l’économie du pays.
· La rivalité coloniale avec l’Anglaterre, la guerre de
sept ans, guerre de Succession d’Autriche.
· Mauvaises récoltes et banqueroute qui conduisent à la
crise de 1789 (convocation des États généraux).
Les lumières se caractérise par 5 principes lesquels avaient pour objectif bouleverser
le pays :
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Le
règne d’une raison militante
Vulgarisation du savoir
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Le
modèle naturel
D’abord Montesquieu on doit
suivre des lois insufflées par Dieu, l’homme est bon, c’est la société civile
qui l’a corrompu.
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La
critique de la religion
C’est l’introduction du
Matérialisme.
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La
critique de la politique
Intérêt collectif en lieu du
personnel.
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Les
progrès de l’esprit humain
Respect de toutes les
religions, droit à la dignité humaine.
Maintenant quelques personnages importants pour ce
période
Les personnages
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Collaborateur
de l’Encyclopédie et philosophe majeur des Lumières françaises. Sa pensée
embrasse des domaines variés comme-t-ils sont la critique social, théorie
politique, morale, théologie, autobiographie. Quel que soit l’aspect considéré,
il s’agit toujours de mettre au jour la liberté. Il demeure toutefois une figure
singulière et paradoxale. Il s’oppose à l’idée de progrès, méprise l’histore,
condamne le cosmopolitisme. Sa pensée présent elle-même de nombreux paradoxe :
éloge de la solitude et du sens civique, éloge de la nature originelle et des
vertus civilisatrices de la société du contrat. Il meurt le 2 juillet 1778.
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Né à
Langres. Il suit ses études chez les Jésuites. Mais jusqu’à son mariage
Anne-Toinette Champion en 1743 il mène une vie bohême qui lui fait perdre sa
foi, après il connaitra Rousseau. Dans ses « Pensée Philosophiques »
il s’en prend violemment au christianisme et plaide pour une religion
naturelle. Il va être un grand collaborateur de l’Encyclopédie après être
chargé en 1747 par le libraire Le Breton. Il va en parallèle continuer ses
écrits qui ne seront pas publiés jusqu’après sa mort à cause de leur contenues sur la vrai
nature de l’homme.
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Il est la
figure qui incarne dans sa plénitude les siècles des lumières. Il tenait un
génie capable qui il a pu être poète, philosophe, essayiste, historien et
dramaturge à la même fois. Son but était vulgariser ses ouvrages pour les
mettre à la portée de tous. Il combattit en faveur de plusieurs causes qui
font figure de leitmotiv dans la pléiade de ses œuvres. La diffusion du
savoir fut aussi son « cheval de bataille », avec des œuvres comme
le Dictionnaire philosophique en 1764 ou encore sa contribution à l’Encyclopédie
en 1751-1772. Pour lui, un Dieu a ordonné ce monde nous laissant notre libre arbitre mais
contrôlerait note volonté. Il meurt le 30 mai 1778 à Paris.
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Né à Paris
en 1732. Grace à la combativité avec Lepaute qui lui a volé un procédé inédit
concernant les horloges, le fait remarquer de Louis XV. Il est invité à son
lever. IL devient professeur de harpe et guitare des filles de Louis XV et
obtient la charge de secrétaire du roi. En 1746, Il se rend en Espagne pour y
effectuer la traite des Noirs. En 1775 il lance le Barbier de Séville mais
avec cinq actes il sera un échec. Après trois jours il le réécrive : c’est
le triomphe. Il crée en 1777 la société des auterus et compositeurs
dramatiques, édite les œuvres de Voltair qui seront imprimées de 1783 à 1790
à cause de la censure française. Après trois ans de censure, il va mettre en
scène le Mariage de Figaro en 1784. Mécontent, Louis XVI lui fait
emprisonner. Il va être libéré sous la pression de l’opinion publique. Après
le succès, il va faire Tarare en 1787 et la Mère coupable en 1792 qui
complète la trilogie commencée avec le Barbier de Séville. Il meurt à Paris
le 18 mai 1799.
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Fils de
Philippe, duc D’Orléans, deuxième fils de Louis XIII. Bien que dans son
testament Louis XIV ne lui ait laissé que la présidence honorifique du
conseil de Régence, Il exerce réellement le pouvoir en tant que Régent de 1715
à 1723. Il va marquer une réaction contre les tendances du règne de Louis
XIV, donnant à la cour l’exemple de la débauche, faisant participer la haute
noblesse à la direction des affaires en supprimant les secrétariats d’État,
en tentant de résoudre les problèmes financiers du pays avec le système de
Law. C’était l’innovation. Il meurt à Versailles en 1723.
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Ecrivain et philosophe français. En 1716, il hérite de la fortune de son oncle, la charge du président à mortier (bonnet de velours) du parlement et le nom de Montesquieu. Dans les "Lettres persanes", qu'il publie anonymement en 1721 en Hollande, il dépeint admirablement, sur un ton humoristique et satirique, la société française à travers le regard de visiteurs perses. Après son élection à l'Académie française (1727), il réalise un long voyage à travers l'Europe (Hongrie, Italie, Hollande, Angleterre), de 1728 à 1731, où il observe attentivement la géographie, l'économie, la politique, les mœurs des pays qu'il visite. De retour au château de la Brède, il accumule de nombreux documents et témoignages pour préparer l'œuvre de sa vie, "l'Esprit des lois" (1748) qui rencontre un énorme succès. Il envisage trois types de gouvernement : la république, la monarchie et le despotisme. Cette œuvre inspire les auteurs de la Constitution française de 1791 et est à l'origine du principe de séparation des pouvoirs législatifs, exécutifs et judiciaires. Son étude de la société le conduit néanmoins à respecter les croyances religieuses, plus pour des considérations pratiques que pour elles-mêmes. Montesquieu prend soin de ne pas mêler de considérations théologiques à ses écrits politiques. Ce qui ne l'empêche pas d'être attaqué par les jésuites et jansénistes pour éloge de la religion naturelle dans "L'Esprit des lois" que le pape fait mettre à l'index dès sa publication. Il meurt à Paris le 10 février 1755. |
Paris comme capitale des lumières.
Paris sera la capitale à raison d’héberger les grand
philosophes. La cour perd aussi son éclat, elle n’était plus l’inspiration des
idées nouvelles. Désormais ce sont dans les Salons, les Cafés ou les Clubs que
foisonne la vie intellectuelle. Dans les Salons on trouvait les écrivains qui
ont la possibilité de se faire remarquer, de lire leurs œuvres, de nouer des
relations utiles. La concentration des talents conduit à une émulation réciproque
et bénéfique.
On s’expliquait par cet art. On s’agitait de raconter des
événements, d’expliquer des faits, de discuter une opinion sans lasser l’auditoire.
Il aura un Salon très reconnu. Il était dirigé par Madame
Geoffrin laquelle subventionne l’Encyclopédie. Ce Salon sera reconnu aussi au
niveau européen.
Les valeurs fondamentales de la société française.
Ces valeurs vont être influées par les courants
philosophes comme le sensualisme, le matérialisme, ainsi, par toute la libre
pensée. Mais surtout il y avait une pensée toute contre la religion bien que on
peut dire que c’était grâce à l’oppression de l’église humain.
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